Poignard: Simple couteau à la lame affûtée coupe un peu près tout, c'est une arme pratique pour le combat au corps à corps.
Fouet: Lanière en cuire véritable qui claque dans l'air quand on l'utilise. Pratique pour les combat à distance, sa puissance et son utilisation dépends de son utilisateur. Cela peut faire de gros dégâts.
Sybile: Pistolet un peu particulier, car celui-ci est équipé d'une intelligence artificielle qui analyse les adversaires de son utilisateur. Elle envoie un rayon paralysant ou anyhilateur selon le résultat de sa recherche. Donc cette arme devient complètement inutile face à un innocent ou ceux qui en ont l'air.

Voici Sybille:

Séducteur: Il aime plaire et être aimé. Il en joue, Cela l'amuse beaucoup. La drague, c'est son truc, il se sent dans son élément quand il est entouré de personnes à ses pieds.
Volage: Il n'aime pas beaucoup se fixer, déjà à cause de son statut de parrain de la mafia. Il y a aussi cette volonté d'être libre. Il ne veut pas s'attacher pour éviter de souffrir. Qui plus est, il aime le changement.
Impitoyable: Surtout avec ses ennemis, il t'écrasera sans aucune pitié. Les gens qui mérite pas son amour ou sa confiance ne sont que de moins que rien.
Sadique: Il adore entendre les cris de douleur de ses adversaires, il frappera juste pour les entendre. Il n'hésite pas à se montrer méchant, pourquoi en aurrait-il honte? Méchant, c'est classe.
Jaloux: En ce qui concerne l'amour, bien qu'il ait un comportement volage, il a horreur qu'on vole ses conquêtes, presque possessif. Ne vous avisez pas de lui voler ses amours, vous rencontrerez son côté impitoyable et sadique.
Drôle: Il aime rire et faire de plaisanteries plus ou moins réussie à ses camarade, sa famille.
Sympa: Il est gentil avec les gens qui sont avec lui, il est un parrain à l'écoute de ses membres. Il est toujours prêt à les aider en cas de soucis.
Puéril quand il boit et devant une certaine demoiselle: Quand il est saoul, il devient capricieux, arrogant et très enfantin au point que les autres n'hésitent pas à dire qu'il devient lourd. C'est parfois pire devant une demoiselle aux cheveux bleus. Incapable d'avouer son amour pour cette dame.
Alcoolique: Il aime l'alcool et ne s'en prive pas pour en consommer, si bien qu'il soit assez compliqué de le rendre saoul. Bien sûr, il préféra les alcools de haute qualité.
Confiant: Il se fait confiance, cette assurance vient de sa longue formation pour être un parrain idéal

Anthony est né lorsque la neige tombait lentement, une nuit d'hiver tout à fait banale. Une petite tête blonde dont le cri enchantait ses parents. L'héritier de la famille De Luca était né, il ne restait plus qu'à le faire grandir. Le jeune enfant pleurait, son père s'approcha du berceau, il caressa la joue du nourrisson qui lui souriait. Le gamin tendit les bars et saisit le doigt. Le parrain promettait de protéger au maximum cette âme innocente. Le gamin s'endormit en tenant le doigt de son père, ainsi le petit garçon garda une innocence de la vie qu'avait son père. Pour lui, ce n'était qu'un homme très occupé, le jeune garçon était nourri par des servantes qui le trouvèrent mignon et sympa, il disait toujours des choses qui les faisaient sourire. Ce jeune homme avait tout pour plaire, d'ailleurs, il avait toute l'attention des domestiques et comme ça lui faisait plaisir d'être le centre d'attention, il se montrait des plus aimable avec ces personnes. Anthony apprenait les choses naturelles de la vie telle que manger, être poli, se tenir à table et des choses ainsi. Il était loin de se douter de ce qui se complotait dans l'ombre. Il était le fils du parrain, mais ce dernier ne voulait pas lui donner les enseignement nécessaire, il apprenais à jouer de guitare. Musicien dans l'âme, il faisait des concerts pour les membres du personnel. Jusqu'à ces douze ans. Encore un enfant ou presque, il entendait des détonations, croyant que c'était un peu d'artifice, le jeune homme regarda par la fenêtre c'est là qu'il voyait pour la première fois de vraies armes qui tiraient sur ces hommes pour qui il avait chanté un peu plus tôt dans la semaine. Ils tiraient aussi, et un d'entre eux remarqua le gamin et lui sourit avant de faire abattre. Le jeune homme se recula et ferma les rideaux. Il secoua sa tête espérant que tout cela ne soit qu'un mauvais rêve. Il se mit en dessous du bureau imposant en chêne. Les coups de feu continuaient jusqu'à se faire plus rares. Anthony sortit de sa cachette, il marcha dans les couloirs et découvrit de nombreux corps étendus, l'odeur de la mort planait dans les lieux. Il mit une main sur son nez, il sentit des larmes sur cette dernière. Il avança en se tenant aux meubles. Il se dirigea vers le bureau de son père, mais fut stoppé par son oncle, l'homme sourit de toutes ses dents. Il poussa l'adolescent et partit sans demander son reste. Il entra dans le bureau et découvrit avec horreur le cadavre de son père gisant sur le bureau avec une grimace sur le visage. Près de lui, il avait un mot à l'attention de ses hommes, ils invitaient à une fête pour lui. Il se mit à pleurer toutes les larmes de son corps tombant à genoux sur le sol. Il continua comme cela un bon moment. Il tenta de se relever pour aller voir son oncle pourquoi ces coups de feu l'avait épargné ? Une ombre arriva derrière lui se fit plus présente, il tourna la tête et découvrit un homme en costume. Il posa une main sur l'épaule du jeune garçon.

-Désolé, petit dès aujourd'hui je serai ton professeur, afin que tu deviennes parrain, ton père n'a jamais voulu que tu apprennes ces choses de cette manière, le fou garder ton innocence dans ce monde impitoyable ne servira à rien. Ce nouveau parrain ne me dit rien qui vaille. Prépare-toi gamin. Je ne serai pas tendre.

Anthony trembla de tout son être et était relevé par cet homme, il le connaissait, il le voyait toujours parler à son père dans l'oreille puis s'en allait avec cette personne. Ses cheveux bruns fonces étaient courts, son regard était dur comme s'il avait traversé des centaines de batailles, ce qui était sûrement le cas. L’adolescent encore perturbé par cette bataille se recula et s'appuya contre le mur, les yeux encore remplis de larmes. L'homme comprenait l'était de choc du gamin, mais il devait le former et ce le plus rapidement possible. Il saisit le bras du jeune homme et l'emmena dans une pièce auxiliaire complément fermé. Il découvrait un portrait de son père qui lui souriait tendrement. Sur la une table un journal en cuir qui décrivait la vie du parrain, mais aussi celle que le jeune homme avait eut pendant ces douze années paisible ou presque, il savait qu'une menace rôdait contre lui. Il fit la découverte ainsi que son père était le parrain de la mafia, qu'il avait tout fait pour qu'il une vie tranquille, même jusqu'à se mettre dans des plans bien trop ambitieux pour lui. Il se sentit faible, il chancelait. Il était retenu par cet homme qui était apparu. Il était bien le fils du parrain, celui qui le succéderait. Il vomissait tellement, l'odeur, ces images horribles et la situation bien trop dure pour que son estomac acceptât de garder sa nourriture. Il se retrouvait malgré lui dans ce monde horrible. L'homme frotta doucement le dos du futur parrain, il y avait du boulot, mais ce ne lui fit pas peur. Il avait dans la poche une lettre qu'il donnerait qu'à la fin de sa formation, celle qui contenait les dernières volontés de son père pour cet enfant. La mafia avait un nouveau dirigeant, son oncle, il était un peu spécial, il aimait tuer plus que de raison. Il prenait un malin plaisir à torturer son cher neveu et ce à chaque fois qu'ils se croisaient. Son prof le tenait toujours en lui promettant qu'il aurait sa vengeance un jour. Pour cela il devait s’entraîner à toutes ses choses qui feront de lui le parrain respectable qu'on attendait de lui. Il apprit d'abord à se défendre avec une arme au corps et une distance, se découvrant ainsi une certaine répulsion pour les armes à feu, peut-être était-ce dû à cette scène qu'il avait vu étant encore jeune garçon, un traumatisme qu'il tentait de cacher, même à son enseignant. Il n'était pas très doué du à son inexpérience. Mais il apprenait assez bien pour un simple civil, son enseignant était fier, mais se montrait dur avec ce dernier. Le nouveau parrain conquérait de nouveaux lieux avec sa méthode violente tuant tous ceux qui se dressaient sur son chemin. Le jeune homme tirait les enseignements de cette agression permanente de son oncle qui voulait montrer à ce jeune que c'était lui le chef.

-Il fait ça car il n'a pas confiance en lui, il veut prouver que c'est un grand en te torturant.
-Ouais, mais il est con.
-Ton langage Anthony. C'est bien que tu es confiance en tes capacités, n'oublie pas que n'est qu'un civil ordinaire, même si être parrain ça te donne une place particulière.
-Je compte bien reprendre ma place.
-Tu n'es pas encore assez fort gamin.
-Parle pour toi, prof.

L'enseignant tira à vue, entraîné le jeune apprenti parrain les évita d'extrême justesse avant de le fouetter avec son arme. Un sourire se fendit sur l'enseignant, il savait que dans quelques années, il serait prêt. Chaque chose en son temps, les choses arriveront bien assez tôt, puis voir son jeune élèves prendre une carrure digne d'un bon parrain lui faisait plaisir, même si Anthony semblait assez dragueur, la jeunesse et sa fougue, il ne comprendrait jamais. Il le laissait faire, il se disait que toute façon, un parrain sans relation n'en était pas réellement, même s'il passait par des méthodes un peu spéciales et bien trop particulière pour que son prof s'y penche plus. Le blondinet explorait sa sexualité en toute liberté, malgré sa frivolité, il était un bon élève. Il ne tue pas pour le plaisir, il le fait, car il le doit à ses gens pour sa famille, pour que le secret reste parmi son cercle de confiance, assez restreint tout de même. L'homme était content de constater cela, il ne deviendrait pas un parrain assoiffé de sang comme l'était son oncle. Homme qui étendait encore son pouvoir en utilisant du nom De Luca avec indignité.
A ses dix-huit ans, Anthony se rend dans le bureau de son oncle bien décidé de reprendre sa place, celle de parrain, il est suivi de près par son prof qui l'observait encore et toujours, il grandissait bien, il était prêt, reste à savoir s'il appuierai sur la détente par sadisme ou par pitié, mais bien vite une arme sort de la poche de son oncle. Il regarde son neveu avec la haine qu'il ressentait à son égard. Il pointait le canon de son arme sur le jeune homme. Le blondinet mit une main sur Sybille, une arme qu'il avait récupérée dans un entrepôt appartenant à la police, c'était une des ses épreuves qu'il lui avait donné cet homme qui avait fait de lui un parrain, enfin presque, il ne restait plus qu'au blondinet que récupéré la place qu'on lui devait de par sa naissance, cette arme spéciale n'était qu'un accésoire de plus pour démontrer la puissance de la famille De Luca. Un coup de feu partit, surpris Anthony était bon pour se la prendre en plein cœur, mais c'est là que son prof le poussait avant de répliquer. Désarmé, le jeune homme en profita pour se relever et tirer avec son arme doté d'une intelligence artificielle, comme prévu, l'arme choisissais le rayon annyliteur et le corps de son oncle se retrouva décomposé en millier de molécules et se répandirent sur les murs du bureau et le visage du jeune homme, il pleura, il ne l'aimait pas, mais un membre de sa famille en restait un malgré tout. L'odeur de la mort éliminer par ce rayon étonnant. Il devenait Parrain, il se précipita vers son prof, celui-ci était durement touché à la poitrine. Il crachait du sang, le jeune homme était à la fois en colère et triste que son prof particulier meure aussi bêtement.

-Gamin, j'ai une lettre pour toi dans ma poche, elle fera de toi un parrain digne de ce nom auprès des gens. Sois impitoyable avec tes ennemis, mais n'abuse pas comme ton oncle. Ta famille est plus importe ne l'oublie pas... Antho...

Les yeux du jeune parrain se remplirent alors de larmes de tristesse, non seulement, il avait perdu son père, mais aussi cet homme qu'il lui avait tout appris, son deuxième papa. Il ferma les yeux de son enseignant. Il cria pour qu'un de ses hommes prenne le corps. Il donnait l'ordre qu'on le brûle, il porterait son enseignement dans la mémoire. Sa formation de parrain, là rendu un peu renfermé sur le monde extérieur, mais il aimait toujours draguer, c'était une solution pour s'approcher d'assez prêt de lui. Il devenait cruel envers les gens tout en les tuant qu'en de rares occasions. Il garde en mémoire les paroles de son prof. Elles conduisent sa vie encore aujourd'hui.
Une belle nuit, il rencontre une demoiselle assez séduisante, il décide de faire d'elle son amante d'une soirée, il la sauva d'une sale type qu'il voulait la tripoter, décidément, il y avait des types qui ne savaient pas s'y prendre avec les dames. Il lui parla doucement, plaisanta avec elle. Il la trouvait de plus en plus charmante, jusqu'en devenir presque amoureux de cette femme. Mais Anthony ne pouvait pas s'attacher, se lier avec quelqu'un était bien trop dangereux, qui plus est quand il ne fait pas partie de la mafia. Il l'embrassa, mais contrairement à toutes les autres, il s'unissait pas à cette demoiselle. Elle était bien trop particulière pour qu'il fasse cela dès le premier soir. Amoureux, il ne pouvait se l'avouer, on pourrait tellement faire du mal à cette femme. Du coup, le parrain se comporte avec elle comme un gamin, la taquinant pour des bêtises, devenant jaloux quand un garçon s'approche trop de sa protégée. La question que se posaient les membres de sa famille, c'est quand il sauterait le grand pas avec la miss afin que son fantasme sur cette femme disparaisse comme toutes les autres. Mais il y arrive pas, il se sent tellement faible en sa présence. Comme l'enfant qu'il n'était depuis bien longtemps, l'assassinat de son père avait changé le gentil garçon qu'il était autrefois.

Fumeur? De temps à autre. Buveur? Oh que oui. Manie? Draguer les gens. Sport pratiqué? les sports automobiles ça compte? Musique pratiquée/instrument? Guitare sèche, pratique pour chanter autour du feu avec ses hommes. Bosseur ou glandeur dans l'âme? Gros bosseur. Saveur favorite? Cannelle.  Pêché mignon?  Pain d'épice. Passionné? par son travail. Porte-bonheur?  Ses nombreux tatouages qu'il a sur le corps. Un secret? Bien essayé.