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(prism-alice) let me destroy you ❞

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AuteurMessage

Prism-Alice Kingston


Prism-Alice Kingston



ϟ RANG : Princesse Barbapapa de l'Amnésie (+maman du forum)
ϟ MESSAGES : 83
ϟ MACHINS : 71
ϟ DATE D'INSCRIPTION : 09/11/2013
ϟ ÂGE : 26
ϟ PSEUDO : hide&seek
ϟ AVATAR : Megurine Luka
ϟ ET ÇA C'EST MA TÊTE : (prism-alice) let me destroy you ❞ 330592IconePresentationPrismAlice
ϟ J'ÉCRIS EN : lightpink
ϟ CRÉDITS : Moi-même o:
ϟ AUTRES COMPTES : pas enkeuuuuur
ϟ IDENTITÉ : Prism-Alice Kingston
ϟ STATUT : service secret; espionne & étudiante; stylisme



(prism-alice) let me destroy you ❞ Empty
MessageSujet: (prism-alice) let me destroy you ❞ (prism-alice) let me destroy you ❞ Icon_minitimeMer 18 Juin - 10:22




Prism-Alice Kingston


Elle, c'est Prism-Alice KINGSTON mais tu la surnommes Prism. Elle est née le 11 novembre, donc elle a 19 ans ans. Elle est hétérosexuelle et amoureuse. Et, si jamais tu veux le savoir, c'est un androïde et plus particulièrement un androïde gouvernemental. Elle exerces le métier d'espionne et étudie le stylisme.

puff: Hide&Seek
age: 16 ans biche!
code du règlement: auto-validé
expérience RP: Un peu plus de deux ans (x
un avis sur le forum ? On est trop de maman o:
comment tu nous a connu ? ...



Armes et Capacités


Sa première capacité se nomme Armure. Sa peau se transforme en une matière très solide et résistante, elle lui permet d'encaisser les gros chocs, tout comme les balles et autres désagréments pouvant l'écorcher. Sa seconde capacité est l'altération des souvenirs d'autrui: en ayant un contact avec ta tête, elle peut modifier chacun de tes souvenirs selon ce qu'elle souhaite.


Histoire


(prologue)
Un effort, un dernier, un seul pour ouvrir les yeux. Petit à petit, le noir laisse place aux lumières et aux tâches de couleur. Je ne perçois grand-chose, tout est flou, tout bouge et tout est rapide. Je ne comprends rien, je suis perdue. Je sens des présences qui s’affairent autour de moi, ça me donne envie de hurler, leur hurler de m’expliquer ce qu’il se passe mais ma bouche est sèche, ma bave pâteuse. Je me sens tellement mal, comme vidée de mon énergie. Mon corps ne bouge plus, il ne répond plus à mes ordres. Je tente de bouger mes bras, mais ils ne suivent pas. Une nouvelle envie de hurler me prend la gorge mais aucun son ne sort. Alors je ne peux plus me retenir et je sens l’eau trempée mes petites joues rebondies. Mes sanglots s’étranglent dans ma gorge, ce qui me fait plus de mal que de bien, tant que ça me coupe la respiration. Serais-je en train de m’étouffer ? La peur me tord le ventre et je suis toujours incapable de lever un simple doigt. Dans ma tête, tout s’agite. La terreur s’empare de mon cœur. Je ne veux pas mourir, pas maintenant, pas tout de suite. Mes poumons cherchent l’air, j’halète. Je suis tellement impuissante face à ma propre mort. Je continue de sangloter, m’étouffant de plus en plus avec mes grognements qui ne veulent franchir mes lèvres. Mes yeux se referment lentement, ma force m’abandonne ainsi que mon espoir, je meurs. Mon dernier son aura été ceux déchirant des gens autour de moi puis à nouveau le noir.

Mes yeux s’ouvrent à nouveau mais tout semble marcher de façon accéléré. Je perçois tout de façon net. Les sons, les odeurs et les images me sont totalement nouvelles et bonnes. Je tourne la tête sur le côté et me découvre dans un couloir blanc. Des hommes vêtus d’uniforme de couleur pur me trainent dans un … brancard.  Je sens une douleur au niveau des joues, un pincement qui me fait tellement de bien : je souris. La seule chose que je me répète est « Je suis vivante ! ». Je ne peux m’empêcher d’être faible et de pleurer de tout mon être : ca fait tellement du bien de savoir que les personnes, ici, sont compétentes et que je suis en vie. J’aimerais rigoler tant le bonheur me gratouille la gorge mais c’est impossible : ma bouche est toujours pâteuse et je ne me sens de passer pour une folle auprès de ces beaux garçons. Une voix entame la discussion avec quelqu’un mais personne ne lui répond. Je m’en fiche, ce n’est pas mon affaire. Je fixe le plafond, un sourire niais au visage et me déconcentre des sons, je préfère me parler à moi-même de mon bonheur. Un homme barbu se met dans mon champ de vision. De tout mon être, je ressens son inquiétude, je la lis même dans ses yeux. Avec son front ridé, il me fait penser à un papi. Sa voix grave prononce à nouveau le nom de la personne à qui il s’adresse.

patron « Prism-Alice ? »

Je le regarde, détaille ses yeux marrons, ses cheveux poivre et sel, sa barbe noire nuancée par du blanc, sa peau mate et marquée : il me rappelle quelqu’un. C’est alors que je comprends tout. Tout me revient ou, du moins, rien. Je ne me souviens plus de rien. Je n’ai plus aucun souvenir. Un miroir, en moi, explose, je sens le « BOUM » retentir et les éclats se loger dans mon cœur. Je me rends compte qu’il s’adresse à moi depuis tout à l’heure. Mon sourire n’a pas déserté mon visage, à mon grand amour. Je ne laisse rien paraître et demande, calmement.

prism-alice « Qui est-ce ? »
patron « Tu ne te souviens de rien ? »
prism-alice « Non, strictement rien … »
patron « Nous allons te soigner mais, en contre partie, tu seras à ma solde. »
prism-alice « D’ac-D’accord … Mais qu’est-ce qu’il m’arrive ?! »
patron « Ton corps a été déchiqueté. »
prism-alice « P-Pourquoi ?! »
patron « Tu le sauras bientôt. »

Aussitôt dit, aussitôt fait. Ils m’emmènent au bloc opératoire où ils me préparent pour une intervention monstrueuse. Ils me filent un calmant pour m’endormir, ce que je ne tarde de faire. Mais bientôt mon sommeil est troublée par l’arrivée sensationnel de mes souvenirs, tous plus vrais que faux. Je n’ai de cesse de me demander qu’est ce qu’il y a de réel ou si ce ne sont que de vilains cauchemars. Enfin, avec certitude, je peux énoncer quelques souvenirs car certains ont des points communs. C’est comme ça que je sais.

(1er éclat)
Je ne me souviens que de cette sensation vertigineuse, je veux dire pour de vrai. Sinon je me revois, assise sur mon lit de princesse, entourée d’un plaid rose bonbon, je grelotais de froid ou … de terreur, me semble t-il. Il y avait eu un cri, provenant de l’étage du dessous, ainsi qu’un coup violent puis des pleurs. J’avais serré plus fort mon doudou sucré. Je me rappelle de cette angoisse, je peux la revivre. Elle me tord l’estomac, me plie en deux et me donne des nausées. Elle me donne envie de sangloter. Il y a quelque chose qui se trame en dessous de moi. Du haut de mes huit ans, je m’étais glissée dans le couloir, sans un bruit. Il y avait contre moi une peluche, un nounours aux poils blancs et doux, il m’évoque une vague sensation de bien être. Avec ce que j’ai su après l’opération, je peux vous dire que c’est mon grand frère qui me l’a donné. Bref. Je descendais les escaliers sur la pointe de mes petits pieds, chaussés de pantoufles saumon. J’avais une chemise de nuit de satin, ce qui démontre que je suis née riche. Elle glisse contre la barrière et suis mon ascension jusqu’au bas des escaliers. Je vois alors un grand homme au crâne dégarni ainsi qu’un jeune homme, je lui donne aisément seize années. Il est blond et lorsque je le regarde, mon cœur bat : il est mon frère. Je veux surtout dire que ma famille se déchire sur l’instant de mon enfance. Le vieil homme cri alors de sa voix puissante et grave.

père « « Ne reviens jamais ! Tu n’es pas mon fils, espèce de p*dé ! »

La porte s’ouvre et l’enfant que j’étais regarde dans les yeux le joli blondinet. Une douleur désagréable, au niveau du cœur, s’est emparée de moi. Je me revois là, débout, devant la porte d’entrée, une main posée sur la barrière des escaliers de bois et les larmes qui ruissellent le long de mes joues. La douleur est insupportable.

(2nd éclat)
Mon second souvenir se concentre essentiellement sur une partie de mon existence sans lui et avec un autre. Je veux dire que la rentrée des classes avait été éprouvante, je me rappelle de la lassitude et le bonheur avec lesquels j’étais rentrée à la maison. Enfin. Ce jour là, j’étais seule, littéralement. Personne n’était assise à côté de moi, personne ne me regardait ni même ne m’adressait la parole. Je regardais seulement mes mains. Je ne sais pas si j’étais bien ou mal, impossible de le dire sur de simple observation subconsciente. De plus, personne n’avait su me répondre sur ce souvenir pourtant si présent dans mon esprit. Ce jour là, j’étais habillée comme une princesse, aucune fille ne m’arrivait à la cheville. Mes cheveux roses –je ne comprends pas ce délire là, ce serait un défaut de naissance- était rassemblés en un chignon flou et aux bouclettes joviales, mon corps était vêtu d’une simple robe blanche. Je n’étais point maquillée ou quoique ce soit d’autre. J’étais belle pour une enfant de l’école élémentaire. Pourtant personne ne me regardait. Lorsque mon nom fut appelé, je m’étais levée pour rejoindre les autres enfants et c’est là que je l’avais vu. Il se démarque tellement des autres, je le ressens de tout mon être ! C’est un petit garçon blond aux yeux dorés. Il regardait dans la direction où je m’étais trouvée. C’est alors que tout s’est fait aussi naturellement que possible. Il est venu et s’est fait rejeté par la fillette que j’étais. A priori, il appréciait les nouvelles puisqu’il était revenu à la charge en posant des dizaines et des dizaines de questions sur mes origines. C’était un taré ce garçon, quelqu’un avec qui j’avais l’air de bien m’entendre, pourtant ce n’est que l’un des seuls souvenirs que j’ai de lui.

(3ème éclat)
Un sourire éblouissant et un regard tendre. Ses mains étaient tendues dans la direction opposée de son corps. Il partait vers l’arrière et tout se passait au ralenti. Une jolie demoiselle aux cheveux roses s’époumonait en silence. Il n’y avait aucun bruit comme si le monde s’était tu par respect pour cette personne disparaissant. Ses lèvres bougèrent, murmurant quelque chose audible pour une simple personne : elle, enfin mon ancien moi. Elle arrêta de courir vers l’homme que nous aimions et laissa pendre ses mains le long de son corps de jeune fille. Elle baissa la tête tandis que le bruit sourd du corps s’écrasant remit le monde en marche. C’est alors qu’elle se mit à hurler, crier, tout marche en vitesse grand V. Traumatisée par la scène, traumatisée l’enfant de treize ans.

(4ème éclat)
La voiture emmenait l’adolescente que j’étais quelque part. Une sorte de centre. Je ne comprenais pas ce souvenir au début. Je me demandais ce que j’allais y faire. Il n’était jamais clair et je ne voyais pas cette fille là. Cette brunette étrange qui devint une meilleure amie, plus, une sœur. La voiture déposa mon corps à l’acceuil et c’est là qu’elle sugit. De sa voix joyeuse et aïgue, elle hurla dans les oreilles.

Celeste « « Salut ! T’es nouvelle ? Moi, c’est Céleste, dites la schizo’, ravie de te rencontrer ! »

C’est là que j’ai compris où j’avais atterri plus jeune. C’est là que je me rendis compte que j’avais été folle dépressive.

(5éme éclat)
Ils passent vite. Ce sont des multitudes de souvenirs qui affluent sans de réel sens. Qu’ils soient vrais ou faux, je m’en contrefiche car ils n’ont pas l’air d’avoir influé mon existence plus que ça. Je me vois courir dans les couloirs, un serpent à la main, Céleste à mes trousses. D’autres personnes assises autour d’une table, en train de manger et de rigoler. J’avais pas si mal vécue que ça, dans cet hôpital. Enfin, ce sont des choses dont je me fiche éperdument.

(6ème éclat)
Nous étions cachées dans les fourrés. Les feuilles caressaient nos visages et l’herbe nous chatouillait les genoux. Céleste me montrait un plan, celui de la maison en face de nous, sûrement. Mon estomac me tordit le ventre et pourtant j’avais avancé. Pourquoi ? Je me vois sauter les barrières et pénétrer dans la maison. Selon les dires de Céleste, nous étions parties nous venger de ceux qui avaient tué le garçon de mes premiers souvenirs. J’étais arrivée devant la maison et l’avais contournée afin de trouver la fenêtre menant à … une chambre. Lorsque cela fut fait, j’avais appelé Céleste qui, tout aussi agile que mon ancien moi, m’avait rejointe. Elle avait démonté la serrure de la fenêtre et nous étions passées. Ce fut un choc lorsque je les vis. Je les revis dans un flashback rapide. Une peau plus mate que dans leur enfance, une chevelure aussi blonde que le soleil et des visages toujours aussi angéliques. La rancœur m’avait prise à la gorge et je m’étais empressée de les attacher avec la corde et de les bâillonner. J’avais piqué tous ce qui leur étaient précieux et les avait réveillé. Devant les yeux de « Clara », tu avais abattu « Sophia ». Elle avait mis du temps à reconnaître qui était cette fille aux cheveux roses. Lorsqu’elle le sut, elle eut un sourire méprisant, mon ancien moi faillit tirer sur la gâchette mais Cel’ l’en avait empêché. Elle avait eut une idée meilleure : la torture. Lorsqu’elle en eut marre, j’avais provoqué une violente amnésie chez l’adolescente. Quand j’y repenses, j’en pleure de pitié, de haine et de compassion.

(épilogue)
Maintenant, j’ai 19 ans et je ne me souviens pas du pourquoi je suis devenue androïde. Personne ne me le dit et je m’en fiche un peu, je sais juste que mon corps a été entièrement déchiqueté. Je travaille pour le gouvernement et je fais partie des meilleurs agents. Je me suis faite tatouée une plume car j’aime ma nouvelle condition qui me procure une liberté que les autres n’imaginent pas. Bref, je suis bien malgré certaines crises d’angoisse que procurent mes souvenirs faux et vrais.


Informations complémentaires


Fumeuse? oui. Buveuse? oui. Manie? entortiller ses cheveux autour de son index. Sport pratiqué? boxe + danse classique. Musique pratiquée/instrument? aucun. Bosseur ou glandeur dans l'âme? bosseuse. Saveur favorite? la pistache.  Pêché mignon? les glaces. Passionnée par? le Burlesque. Porte-bonheur?  mon tatouage en forme de plume, sur la côte droite. Un secret? les cauchemars que je fais sur mes souvenirs.


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